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Chênaie s’étalant du versant au fond de vallon ce qui crée des besoins particuliers selon la topographie. Une densité importante de régénération naturelle est présente (aubépine, bouleau, sorbier, frêne, chêne, hêtre, charme, pin sylvestre…) mais dominée par un taillis de faible valeur avec peu de potentiel pour l’avenir (arbustes)
Pessière sur un sol à régime hydrique alternatif en bordure d’un ruisseau non permanent. Ravagée par le scolyte de l’épicéa et les chablis. Le sol nu est recouvert d’herbacées avec quelques semis de régénération naturelle par endroits (surtout de l’aulne et du bouleau dans la mise à blanc). De la régénération naturelle est aussi présente sous la pessière.
Douglasaie sur un versant avec un pente légère à moyenne. Profondeur de sol variable mais globalement peu profonde sur des schistes. Les douglas sont très défoliés et des trouées se sont établies ce qui profite fort à la ronce. Du sureau, du merisier et du noisetier ont réussi à percer l’épais manteau de ronce.
Plantation en cellules (~9 plants) dans une mise à blanc. Trois essences ont été plantées (érable champêtre, tilleul à petites feuilles, chêne sessile) avec un mélange à l’intérieur des cellules. Le reste de la parcelle est laissé en régénération naturelle. Des poiriers ont été plantés sous gaine dans le but d’améliorer l’aspect biologique de la parcelle.
